|  | Pour moi on fer pour un problème orthopédique ou par "facilité" (attention ce n'est pas dans le sens péjoratif), pour que le cheval soit pieds nus et passe partout il faut que son sabot y soit habitué pour ça il faut une bonne alimentation (de qualité et équilibre), du mouvement et tout type de sol avec un bon parage.
Si le cheval est habitué a rencontrer un terrain dur et caillouteux, le pied se durcie et pousse en conséquence. Si le cheval est habitué au sol moue (box ou pâture) et peu de mouvement, la corne est plus souple, et va s'user rapidement en contacte d'un sol abrasif. Donc une usure excessif.
Après je ne vois aucune utilité de ferrer l'avant, puisque certes c'est les antérieurs qui porte le plus de poids mais c'est les postérieur qui propulse et c'est eux qui s'use le plus, ça se voit bien au parage.
|
|
|
En théorie oui, quand un cheval travail juste, dans le bon sens, avec un réel engagement des postérieurs et un abaissement des hanches...
Mais en pratique, dans les centres équestre, des chevaux qui font 3 heures dans la journée du débutant au galop 3, ben ilq poussent pas du tout, ils sont sur les épaules, ils se déplacent très lentement. Donc l'usure des antérieurs et plus importante que celle des postérieurs donc ils sont ferré que devant.
Par contre je n'ai pas le même opinion que toi sur l'utilité de la ferrure (mais la on est hors sujet)
Je pense que le pied nu peut convenir a un cheval qui vit dehors avec une faible intensité de travail, un peu de ballade, un peu de dressage et un peu de saut... Mais un cheval "de sport" qui a une grosse activité (1 a 2 h de travail intensif par jour) ne peut pas resté pied nu, il use plus vite la corne que ce qu'elle pousse et a un effort trop violent pour des pieds non ferré. Il en est de meme pour des chevaux de club qui ont une forte activité.
Puis il y a aussi le facteur race, un merens restera plus facilement pied qu'un pur sang.