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Se reconvertir dans un métier auprès des chevaux
Posté le 09/10/2017 à 12h36
Il me semble que le BEP(A) n'existe plus en tant que diplôme. Aujourd'hui, c'est plus un certificat intermédiaire entre la seconde et la première professionnelles, délivré sur relevé de notes à mi-parcours d'un Bac pro. Enfin, c'est ce que j'ai compris lorsque je me suis renseignée auprès des différentes écoles, dans le milieu du cheval ou pas d'ailleurs.
Je voulais rebondir sur le métier de saddle-fitter, en termes clairs un ergonome spécialisé dans l'équipement des chevaux. Hormis en étant hyper connu/reconnu et en parcourant la planète, je ne sais pas si l'on en vit bien. Je pense que c'est souvent une activité que l'on pratique en annexe d'une autre, comme sellier. Je peux me tromper mais ça me semble vraiment difficile de se faire une clientèle sans ce type de porte d'entrée.
Autrement, comme inextenza je connais des gens qui ont monté un élevage équin dans une ferme (initialement un élevage bovins) mais c'est un loisir, une activité annexe. Ils gagnent leurs vies autrement.
Non que ça ne soit pas une activité professionnelle à part entière. Il faut juste retenir que c'est très difficile de se faire un nom dans ce domaine et que, contrairement à des idées reçues, si être éleveur ne demande effectivement pas d'être cavalier, ça impose d'avoir une véritable fibre : sensibilité, savoir-être, savoir-faire, passion plus qu'intérêt, etc.
Vous faites quoi dans le paramédical ?