comme la piste des soucis de santé et de matériel ont été évoqués, je pense utile de se pencher aussi sur la méthode de travail employé même s'il est de plus en plus coutume d'écarter la piste de la pratique équestre lorsqu'on rencontre des problèmes... ce qui est dommage.
A ne pas prendre comme "tu montes mal, tu es nulle"
Mais simplement que chaque cheval a des particularités et des aptitudes de départ, nécessitant parfois des approches nuancées ou différentes, bref un vrai menu personnalisé, pour progresser, de révéler et s'exprimer de façon optimum. Et que parfois certains choix dans le travail (méthodes, programmes, cycles de progression) ont à court, moyen ou long terme, de façons plus ou moins insidieuses, des effets inverses à ceux souhaités.
Interroger sa pratique est toujours une piste d'amélioration, même quand on est bon cavalier
