Bonjour moi aussi je voulais faire partager (beaucoup) de sujets, je regarde de tant en tant ce post pour regarder les nouvelles astuces, et grace au astuces de ce post j'ai fait un classeur et mis toutes c'est astuces voici les astuces:
Gare aux poils blancs !
Même les cavaliers les plus prévoyants sont confrontés au problème des petites blessures de harnachement. Rien de grave, en général, mais le poil repousse souvent blanc. Une fois que la blessure est refermée, et avant que le poil ne repousse, frottez la région concernée avec un morceau de charbon. Le poil réapparaîtra alors de la même couleur que le reste de la robe.
Des brosses toujours propres
Pour éviter de changer ses brosses trop souvent, Marion a une astuce très simple : elle nettoie régulièrement en les laissant simplement tremper une nuit dans une solution d’eau et de shampooing antibactérien, comme on en utilise pour laver les chevaux
Pansage tout doux
Royal commence à s’agiter quand Marion le bouchonne…
Elle sait alors qu’il est temps de renouveler ses outils.
En effet, quand la brosse est un peu ancienne, elle est usée par les frottements contre le mur effectués pour enlever la poussière, les poils sont aiguisés
Et les aiguilles deviennent non seulement douloureuses, mais aussi susceptibles de retenir des mycoses.
Alors chaque année, la cavalière offre de nouveaux ustensiles à son compagnon.
Au poil scié
Voici l’arrivée des beaux jours,
Pour sa grande joie et celle de sa cavalière…
Royal va perdre son manteau d’hiver. Une joie de courte durée pour Marion car c’est également synonyme de travail fastidieux pour retirer tous ces poils !Pour faciliter sa tâche, elle emploie une scie a métaux (et surtout pas à bois !)
Usagée qu’elle utilise comme couteau de chaleur sur les parties charnues du corps. Les poils s’accrochent aux petites dents de la scie et sont ainsi éliminés plus rapidement. Après deux ou trois ‘séances de scie’, Royal retrouve son beau poil lisse et brillant.
A chacun ses outils
Marion est très vigilante et fait très attention à ce que Royal n’attrape pas une maladie de peau d’un de ses compagnons d’écurie. Pour cela, elle a trouvé une solution imparable : faire en sorte que chacun ait son propre matériel de pansage. Pour éviter que les instruments ne soient jetés dans des caisses où chacun vient se servir, elle a fixé une ficelle sur la porte à l’extérieur du box de Royal à laquelle elle a accroché un sac regroupant tous ses outils. Non seulement c’est plus hygiénique, mais en plus elle ne court pas dans toute l’écurie pour trouver ce dont elle a besoin.
Plus blanc que blanc
Les balzanes, c’est joli, mais il n’est pas toujours évident de les garder parfaitement blanches ! Surtout lorsque la saison des concours reprend au mois de mars et que les terrains sont encore particulièrement boueux.
Sans oublier les taches de crottin et d’urine lorsque que les boxes ne sont pas ultra propres. Pour blanchir les balzanes ;la veille d’un concours, nettoyer énergiquement le bas des membres avec du shampooing pour bébé, puis rincez-les parfaitement au jet d’eau, en vous y reprenant à plusieurs fois si nécessaire pour enlever toute trace de mousse. Après les avoir épongés puis frottés en partie à l’aide d’une serviette, attendez qu’ils soient secs avant de poser des bandes de couleur bleue pour les maintenir propres. C’est un truc de grand mères qui utilisaient des petites boules bleues pour éviter au linge blanc de jaunir.
Cure-pied fugueur
Marion est parfois un peu étourdie et il lui arrive souvent de perdre ou d’oublier son cure pied. Bien sur, cela ne coute pas très cher, mais c’est lassant de devoir toujours en racheter ! Quand Royal est au pré et qu’elle s’occupe de lui directement dans son abri, elle a eu l’idée d’associer le bouchon et le cure-pied.
Elle a découpe une pièce e n cuir un peu plus grande que le manche du cure pied qu’elle a clouée sur le dos de la brosse pour faire un petit étui. Elle y glisse son cure-pied aussitôt le pansage terminé. Attention, lorsque l’on cloue le cuir, Il faut faire en sorte de bien serrer la poche car elle va se détendre au fur et à mesure de l’utilisation
Moins bricoleuse mais tout aussi astucieuse, une amie de Marion a un autre truc très simple : elle percé une balle de tennis de deux trous opposés et a passé dans les trous un morceau de ficelle à ballot attaché au cure-pied.
Le porte-brosses
Marion a une parade pour ceux qui cherchent régulièrement leurs brosses qui trainent dans la paille ou autour des boxes.
Elle a fait confectionner par son père bricoleur une petite construction qui lui permet de les ranger. Il a pris un rondin de bois d’environ 7 cm de diamètre et de 50 cm de long. Il l’a place au milieu d’une planche de bois, de forme carrée, d’environ 30 cm de’ cote et de 2 cm d’épaisseur. Le rondin a été cloué sur la planche, puis hérissé de petits clous.
Il faut juste penser à installer un anneau d’accrochage sur les brosses qui n’en ont pas, et le tour est joué.
Crins rebelles !
Marion ne supporte pas que la crinière de Royal se partage irrégulièrement à droite et à gauche de l’encolure…
Elle trouve cela très inesthétique ! Mais il a le crin assez épais et c’est une véritable corvée de le faire beau.
Après avoir bien démêlé et peigné sa crinière, elle l’enduit généreusement d’un gel fixant (fixateur fort) pour humain et rabat tous les crins du même côté. Toute brillante, elle reste en place pendant plusieurs jours. En plus, il se dégage une agréable odeur fruitée lorsque son cheval est en mouvement.
Un kit de toilettage fait maison
Natter ou pionter Royal le met incontestablement en valeur. Mais quelle corvée, notamment quand il faut descendre de son tabouret chaque fois que l’on a besoin d’un nouvel instrument…Pour avoir tout sous la main, Marion a cousu dans une toile solide un tablier de toilettage muni de poches pour chaque instrument. Il suffit de plier le rectangle de tissu et de piquer les poches aux intervalles adaptés à la largeur des instruments qu’on prévoit d’y ranger. Deux bandes de tissu - l’une pour faire la ceinture à nouer dans le dos, l’autre plus étroite pour maintenir le tablier enroulé de façon à l’emporter facilement partout – finissent ce tablier porte-ustensiles. Facile et nul besoin d’être un as de la couture
Lustrant naturel
Marion évite d’utiliser les produits lustrants vendus dans les selleries car elle les trouve très onéreux. Elle prend simplement une poignée de foin humide ‘pas trempé !) et la frotte sur tout le corps de Royal. Elle passe ensuite un coup d’époussette, et le tour est joué !
Son cheval arbore une belle robe brillante.
En mains propres !
La graisse à pied, c’est bien…
Sur les pieds des chevaux, mais sur les mains, c’est la plaie à nettoyer !
Mais Marion a mis au point toute une stratégie pour ne pas s’en mettre plein les doigts !
Elle découpe une bouteille d’eau et en retourne le haut pour pouvoir mettre le pinceau dans le goulot.
La graisse reste sur les poils du pinceau ou sur les parois de la bouteille, mais ne se dépose pas sur le manche. Elle attache son dispositif à son pot de graisse avec du ruban adhésif pour tout avoir a portée de main. « Plus luxueux », vous pouvez également recycler un vieux biberon en découpant le haut de la tétine. On glisse le manche du pinceau dedans et, pour l’utiliser, il suffit de dévisser la tétine.
Fini le goudron sur les doigts
Pour le goudron de Norvège, Marion récupère une bouteille de produit vaisselle (les petites bouteilles se rangent plus facilement dans les boîtes de pansage), la rince et y verser le contenu du pot de goudron à l’aide d’un entonnoir. Grâce au bouchon qui s’ouvre et se referme facilement, le goudron ne coule pas sur la bouteille. Cela évite de s’en mettre sur les mains avant de l’appliquer au pinceau. De plus, ce système facile d’utilisation est conçu pour verser directement le goudron dans las lacunes, évitant ainsi les excès. Il ne reste plus alors qu’a terminer l’application au pinceau. Cz dernier ne s’imprégnant qu’au niveau des poils, son manche demeure propre. Côté entretien, il suffit de nettoyer de temps en temps le bouchon avec un chiffon ou de changer de bouteille…
Sortie de bain
Tout le monde sait qu’il faut bouchonner son cheval après le travail…
Lorsque l’on n’a pas de paille sous la main (au pré par exemple), il suffit de frotter son cheval avec une serviette éponge. Cela enlève aussi bien la sueur que la saleté, et tout aussi efficacement que la paille. Vous pourrez également sécher les sabots avant de les graisser.
Bien au sec
Un gant de toilette est très utile en automne et en hiver, quand le bas des menbres est humide à foce de travailler dans la carrière détrempée ou d’aller en extérieur après la pluie. Pour éviter les risques de crevasses, on peut l’utiliser pour essuyer les paturons. Il est bien plus facile à manipuler qu’une serviette et bien moins encombrant.
Flacon multi-usages
Marion est la reine de la récup’ ! Elle ne jette par exemple jamais les flacons pompe (ceux dans lequels est conditionné le savon liquide pour se laver les mains). Ils s’avèrent ultra pratiques pour transvaser les substances telles que les produits pour tendons qu’elle applique régulièrement sur Royal.
Séchage rapide
En avril, nos chevaux ont encore le poil un peu long et les températures peuvent être froides. Il faut donc veiller à bien les sécher quand ils ont transpiré au travail. Mais parfois le temps manque pour les marcher assez longtemps. Dans ces cas-là, Marion bouchonne Royal pour le sécher avec un chiffon imbibé d’alcool camphré. Elle frotte bien dos et reins pour qu’il n’attrape pas froid, et lui remet une couverture si c’est vraiment nécessaire.
Des bandes bien tenues
Avec l’eau et le sable, les scratches des bandes de polo sont souvent mis à rude épreuve. Pour les consolider, Marion a rajouté un élastique épais par-dessus. Plus aucun risque qu’elles se déroulent en plein travail.
Peignes à poux, peigne à boue !
Formidable le retour du pré : la boue séchée résiste même à l’étrille, un cauchemar au pansage ! Les boulettes de terres accrochées au poil peuvent occasionner des blessures sur le dos, à l’endroit de la selle.
Les petites dents serrés d’un peigne à poux (vendu en pharmacie) décrocheront les moindres boulettes, surtout le corps, notamment la tête et les jambes, là où l’emploi de l’étrille est déconseillé. Sa maniabilité permet d’atteindre les parties les plus sensibles comme la salières, et sa douceur est appréciée des chevaux
Queue longue, queue courte
Quand on travaille les chevaux sur un sol un peu boueux, la queue se souille inutilement. Marion a mis au point un nattage astucieux et esthétique.
Elle sépare les crins en deux mèches à partir du couard. Puis remonte la mèche de droite en tournant autour du couard dans le sens des aiguilles d’une montre avant de faire de même avec celle de gauche, mais dans le sens inverse.
Il n’y a plus qu’a diviser le bout des deux mèches en trois pour en faire une tresse, dont on peut laisser le bout apparent ou dissimulé.
‘Chevelure’ de rêve
Malgré une bonne alimentation, des pansages réguliers et un démêlage parfait des crins, la queue de Royal ne s’épaississait pas. Lors d’une visite pour des vaccins, le vétérinaire de Marion lui a confié un truc pour embellir les crins. Il suffit d’ajouter à sa ration quotidienne une cannette de bière sans alcool pur malt. En trois mois, elle a effectivement constaté une pousse des crins régulière.
Et cela vaut également pour la corne des sabots.
Journal antitache
L’argile, que l’on applique sur les membres d’un cheval après effort, souille les bandes de repos. Pour éviter ce désagrément, Marion enveloppe tout simplement les membres recouverts d’argile dans du papier journal avant de poser les bandes de repos.
Contre la débandade des bandes
Marion avoue volontiers que sa malle est toujours en désordre. Mais maligne, pour éviter de retrouver ses bandes de repos déroulées et sales, elle a trouvé un système : une simple bouteille en plastique coupée en deux. Elle conserve la moitié côté goulot où elle pratique une fente assez large pour glisser plus facilement la bande enroulée.
Soins capillaires
Pour conserver la superbe crinière de leur compagnon, sans pellicules, fort et soyeuse…certains cavaliers utilise un ‘trucs humains’ : deux fois par semaine, ils frictionnent la racine de Pétrole de Hahn Lotion Vert.
Le succès semble garanti.
Propre jusqu’au bout des naseaux
Royal prend un malin plaisir à se rouler dans la boue lorsqu’il est lâché au pré. Mais ne supportant pas qu’on lui mouille la tête, le moment de la douche était devenu une véritable corvée. Marion a résolu le problème en conservant de vieux gants de toilette. Après lui avoir douché le corps et brossé la tête pour enlever le plus gros de la saleté, elle la lui lave avec un gant de toilette humide. Au départ, il a eu un peu de mal à s’y habituer, surtout au niveau des oreilles. Mais il a peu à peu accepté ce ‘rituel’ et l’associe désormais à une caresse.
Polo utile
Natter reste une corvée pour Marion ! Alors quand elle tresse la veille d’un concours et que dans la nuit Royal a eu une furieuse envie de se gratter, cela la met d’une humeur. Pour éviter de recommence à chaque fois, elle pose maintenant une bande de polo sur la natte de queue. Et le lendemain matin, quand elle embarque, la natte est intacte. Et le lendemain matin, quand elle embarque, la natte est intacte.
Pour la crinière, même des pions bien serrés et laqués ne survient pas non plus aux roulades nocturnes de son compagnon. Là encore, la cavalière a trouvé une solution : elle coupe en deux sur sa longueur un collant ou un bas et le fixe en plaçant un élastique sur chaque pion recouvert du bas. Le tour est joué !
Le lendemain matin, elle retrouve sa monture prête à participe dignement à la compétition.
Pliées en quatre !
Lorsque Marion lave en machine ses bandes de repos ou de polo, elles ont une fâcheuse tendance à se tortiller et à s’emmêler, et il est fort désagréable de devoir à chaque fois tout démêler. Voici donc sa façon de les disposer afin qu’elles ne ressortent pas tout emmêlés du lave-linge. Il suffit de les plier en quatre et de les attacher à l’aide d’épingles à nourrice de sûreté afin qu’elles ne s’ouvrent pas pendant le lavage. Fini l’énervement et le temps perdu à défaire les nœuds !
Une touche artistique au pansage
De temps à autre, Marion aime soigner particulièrement le look de Royal et elle trouve que les damiers dessinés sur la croupe des chevaux le mettent en valeur, car sur des poils brillants, ce motif est du plus bel effet. Elle a donc cherché la technique utilisée pour embellir elle aussi la croupe de son propre cheval. Il existe en réalité deux méthodes pour réaliser un damier. On peut simplement brosser à rebrousse-poil en faisant des bandes croisées sur la croupe. Chez les selliers, on trouve également des plaques souples alvéolées de petits carrés. Il suffit de si poser la plaque sur la croupe et de brosser à rebrousse-poil pour faire ressortir les carrés. Pour fixer le motif, elle mouille la zone décorée avec de l’eau sucrée afin de coller légèrement le poil et de le faire briller
Cheval fugueur
Dans l’écurie de Marion, il y a un cheval qui réussit à ouvrir le loquet de sa porte tout seul. Souvent, des cavaliers oublient de fermer les deux verrous et quelques minutes plus tard, le fugueur en profite pour s’échapper. Pour remédier à cela, le palefrenier a installé un mousqueton sur la porte.
De cette manière, les cavaliers sont obligés de bien refermer le verrou.
D’autres dispositifs efficaces existent, comme le taquet qui retient le loquet (voir paragraphe suivant)
Il est également possible de positionner un second loquet sur la porte de manière à bloquer l’ouverture du premier. Fini les escapades sur la pelouse, ou les expéditions des petits malins ravis de narguer leurs congénères !
Une chaîne plus douce
Les chevaux se blessent souvent le poitrail en s’appuyant sur les chaînes qui ferment habituellement les boxes. Une solution simple et économique consiste à couper un morceau de tuyau d’arrosage usagé de la longueur de la chaîne et à enfiler cette dernière dedans. Pour les plus grosse chaînes, on trouve des tuyaux d’un diamètre important dans les grandes surfaces de bricolage. Pour Royal, Marion a choisi un autre système : elle a fixé des ficelles à une longe anti-renard en caoutchouc et ajouté des mousquetons à chaque extrémité pour faciliter l’ouverture.
Arrondir les angles
Une amie de Marion a installé son cheval dans un ancien bâtiment rénové. Il s’y trouve très bien mais les proportions ne sont pas toujours idéales.
Par exemple, la porte de son écurie est très étroite et son compagnon heureux de sortir risque à chaque passage de se cogner les flancs contre les montants. Mais il est toujours très délicat de modifier les dimensions de vieux bâtiments. Les talents d’habile bricoleur du père de Marion ont été mis a contribution.
Il a posé sur l’encadrement de la porte, a hauteur des flancs du cheval, un petit montage qui tourne et cède quand il le frôle. Il a fixé une tige en fer de chaque côte, sur laquelle est enfilé un cylindre de mousse. Ainsi quand le cheval serre trop les montants de la porte, la mousse l’empêche de se faire mal, et, en tournant, l’accompagne dans sa sortie
Recyclage
Une amie de Marion se demandait comment stocker le sac de grains entamé a l’abri de l’humidité, de la lumière, de la chaleur et surtout des souris.
Astucieuse, la jeune fille lui a soufflé une solution pratique et qui ne coûte rien.
Il faut récupérer un ancien congélateur qui ne fonctionne plus. Parfaitement étanche cet appareil, cet appareil remplit de nouveau efficacement son rôle de conservateur d’aliments … Les autres sacs restent fermés tant qu’il n’y a pas de place dans le congélateur. Les souris n’ont plus qu’à déménager !
Une vilaine manie
Royal avait la regrettable habitude de gratter le sol à l’entrée de son box. Il risquait d’user prématurément ses fers, voire de se blesser. Marion a encore appelé son père à la rescousse ! Après avoir bien gratté et nettoyé le sol, avec de la colle Néoprène il a fixé un morceau de caoutchouc d’un centimètre d’épaisseur sur toute la largeur de la porte. Il a consolidé son dispositif avec des chevilles posées tous les 21 ou 30 cm.
Le comble, c’est que Royal a cessé de gratter quand il a senti le caoutchouc !
Foin en sécurité
Les chevaux abîment ou cassent facilement les râteliers à foin en bois. Les filets à foin ne sont pas non plus une solution durable pour une distribution quotidienne…
Une ancienne barrière antiémeute de laquelle on scie les pieds et que l’on attache au mur avec des chaînes compose un râtelier idéal.
Mangeoire démontable
Dans un box voisin de Royal, une mangeoire démontable (un seau à crochets) a été installée sur la porte, car le cavalier trouve cela pratique pour la nettoyer.
Mais le coquin s’amusait à la faire tomber régulièrement…
Le palefrenier a eu l’idée de faire 2 encoches dans la porte permettent de fixer les crochets de la mangeoire. Le cheval n’arrive plus à la faire bouger et son cavalier peut continuer à l’enlever facilement pour la nettoyer en ouvrant les loquets !
Porte-couverture
Quand Marion enlevait la couverture de Royal pour le seller dans son box, elle ne savait jamais où la poser. Elle ne voulait pas la laisser traîner dans la paille et le crottin le temps de monter et il n’y a pas d’abri à proximité du box.
Elle a résolu le problème en accrochant une ficelle de ballot de paille sur le côté intérieur de la porte du box (en fixant sur les montants de la grille posée sur la porte).Elle suspend ainsi la couverture sans que cela gêne l’ouverture du box.
Epargnez vos mains
Qui n’a jamais eu les mains sciées par la ficelle qui entoure les ballots de foin en les transportant ? Le remède : un tuyau semi-rigide utilisé pour les conduites d’eau. Fendez-le en deux dans le sens de la longueur. Glissez-le entre la ficelle et vos mains lorsque vous portez les ballots.
Halte aux odeurs
Les effluves d’urine émanant d’une écurie sont particulièrement désagréables. Pour éviter, il suffit de tapisser le fond du box avec une couche de paillettes de lin d’un centimètre d’épaisseur. Recouvrir ensuite avec la litière de paille. Changer les paillettes dès qu’elles prennent une couleur rouge, car à ce stade, elles ne peuvent plus absorber l’ammoniaque. On allie ainsi l’esthétisme de la paille à une odeur plus agréable.
Du bon foin
En septembre, il est temps de faire ses provisions de foin pour l’hiver et il faut le conserver dans de bonnes conditions car il perd facilement sa valeur énergétique s’il n’est pas stocké dans un endroit sec et aéré L’humidité le fait moisir, mais une trop grande sécheresse le fait s’effriter et crée une fine poussière qui provoque des affections respiratoires chez les chevaux. Pour conserver un taux normal d’humidité, il suffit de répandre du gros sel entre lits de ballots. De plus, les chevaux apprécieront ce goût salé !
Mode de transport
Quand Marion nourrit plusieurs chevaux, pour éviter les allers-retours entre le coffre à grains et les boxes, elle a au l’idée d’utiliser une poubelle à roulettes facile à transporter d’un box a l’autre, en l’inclinant et en le faisant rouler. Contrairement à une brouette, elle n’est pas obligée de retransvaser ce qui reste dans le coffre à grains, et en rabattant le couvercle pas de voleur, ni à plume ni en sabots !
Les ficelles du métier
Quand elle fait le box de Royal ou distribue le foin, Marion oublie souvent de prendre sur elle un couteau pour couper les ficelles des bottes de paille ou de foin. Or, pas facile de détacher les quartiers avec une ficelle très serrée. Elle se sert alors d’une autre ficelle de paille pour rompre celle nouée autour du ballot. Elle passe la première dans celle du ballot et effectue de brefs et rapides allers-retours en la tendant bien. L’échauffement coupe le lien autour du ballot.
Chevaux gloutons
Il existe une solution pour les chevaux gloutons qui se précipitent sur leur mangeoire en donnant de grands coups de nez. Pour éviter qu’ils envoient une grande partie des granulés par-dessus la mangeoire, on peut la recouvrir d’une pièce de tissu extensible et épais, l’attacher dessous à l’aide d’un solide élastique puis entourer les côtés de ruban adhésif pour plus de solidité.
Enfin, une ouverture circulaire sur le dessus, bien au centre de la mangeoire, d’un diamètre un peu inférieur au chanfrein permettra au cheval de manger toute sa ration, sans en mettre partout !
Chaque chose à sa place
Dans une écurie, on a besoin d’un tas de choses : outils, harnachement. Il ne faut pas les laisser traîner, et, pourtant, on doit pouvoir mettre la main dessus à tout moment.
Pour ranger les pelles, fourches et autre matériel, les fers usagés de chevaux peuvent être fixés sur un support en bois. Installé sur un mur devant lequel il n’y a pas de passage, ce petit bricolage est facile à réaliser, et le résultat est plutôt esthétique. La sécurité est assurée : les chevaux ne risquent plus de se prendre les pieds dans les outils, et les cavaliers non plus !
Jouet d’écurie
Marion craint beaucoup que l’ennui pousse Royal à tiquer à l’ours. Il est vrai que c’est terrible de voir un cheval se balancer de gauche à droite à la porte se son box pendant des heures !
Plutôt que d’installer une grille échancrée pour l’empêcher de se balancer, Marion a préféré opter pour une idée plus ludique et elle a décidé de lui offrir un jouet d’écurie.
Elle a accroché une balle de tennis au bout d’une ficelle au milieu de l’ouverture de la porte. D’abord surpris par cette balle, Royal en a fait aujourd’hui son jeu préféré !
Une amie a fabriqué, elle, une boîte à granulés dans un bidon en plastique pour son cheval. Elle y a percé de gros trous et a mis des granulés dedans. Pour récupérer ce qu’il y a à l’intérieur, son gros gourmand est obligé de pousser le bidon avec son nez de façon à le faire rouler et faire tomber les granulés. Une occupation de longue haleine !
Mauvaise habitude
La jument d’une amie de Marion avait pris l’habitude de crotter dans sa mangeoire qui est fixée dans un coin du mur.
Pas très pratique pour lui donner ses rations quotidiennes. La jeune fille lui a soufflé l’idée de sceller un tuyau métallique dans les deux murs qui forment le coin, à environ 30 cm du bord de la mangeoire. Il suffi de faire un trou dans chaque mur et de fixer le tuyau avec du mortier. La jument passe facilement sa tête par-dessus la barre métallique pour manger dans son auge, mais pas ses fesses !
Fini les éclaboussures !
Tous les boxes avec une gouttière ne sont pas équipés de descente pour acheminer l’eau. De plus, lorsque le vent souffle, l’eau ne retombe pas automatiquement dans le bac et éclabousse les cavaliers qui s’aventurent à proximité. Ainsi, pour récupérer l’eau et par la même occasion l’économiser, il suffit de placer dans la gouttière une tige métallique de la même longueur, puis de fixer un crochet à chaque extrémité ; à chacun de ces crochets, on attache une corde, lestée d’un poids (pierre…) pour la maintenir dans le bidon. De la sorte, l’eau suit la corde, de la gouttière dans le bidon. Cette astuce permet aussi de changer de réceptacle car même si la corde n’est pas à la verticale, il ne reste plus qu’a déplacer le poids et l’eau suivra.
Pas de panique !
Il arrive parfois qu’un cheval se roule tout près d’un mur et reste coincé.
Emporté par son élan, il se retrouve les quatre fers en l’air, appuyé contre la paroi. Malgré de nombreux efforts, il ne parvient généralement pas à rouler de l’autre coté pour se relever. Le cheval tape alors contre le mur, hennit, et généralement, c’est un peu la panique. On ne sait pas trop comment réagir.
On se sent démuni face à cet énorme animal qui se débat sans résultat.
Mais après un certain temps, le cheval est un peu fatigue de ses efforts et se calme un peu. Il faut alors demander l’aide d’une ou deux personnes plutôt musclées. Ces dernières, tout en veillant à se maintenir hors de portée des sabots, vont empoigner la queue du cheval et le déplacer très prudemment en tirant. Cela ne lui fait pas mal. Le cheval, à peine éloigné du mur, se relèvera de lui-même sans aucune difficulté. Une autre solution peut-être plus prudente-consiste à passer une longe au niveau de ses épaules et une autre au niveau de sa croupe pour le tirer vers l’intérieur du box.
Carrière en deux temps trois mouvements
Pour ceux qui n’ont pas de carrière, il est possible d’en improviser une avec du ruban de clôture électrique. Il faut pour cela former un espace rectangulaire en plaçant des poteaux de bois aux quatre coins et un sur la largeur. Il ne faut bien entendu ne pas mettre de courant sur le ruban.
L’anti-poussière
Marion déteste que le moindre coup de balai ou de torchon déclenche une tempête de poussière. Elle pénètre dans ses yeux, ses narines et se pose sur les lunettes, pouvant provoquer, à long terme, des problèmes respiratoires, des rhumes ou des allergies. Pour éviter ces inconvénients, elle arrose l’écurie avec un pulvérisateur de jardin afin d’y laisser une fine pellicule d’eau. Le résultat est étonnant, elle peut balayer sans risques la crise d’éternuements : la poussière reste comme plaquée sur le sol.
En place
Ranger le matériel d’écurie est un éternel problème. Balai, fourche, pelle, etc., ont toujours une fâcheuse tendance à traîner un peu n’importe où. Non seulement on doit courir après lorsque l’on veut nettoyer les boxes, mais cela peut devenir dangereux. Le père de Marion a instauré un système très simple pour que tout reste à sa place, facile d’accès et sans danger. Il e récupéré des palettes en bois qu’il a fixées contre le mur. Il suffit d’y glisser les ustensiles à manche. L’avantage de ces palettes est d’être à la fois solides, légères et faciles à trouver.
Doucement à l’entrée !
Lorsqu’il était plus jeune, Royal rentrait en trombe dans son box et bousculait dangereusement Marion, au risque de se cogner dans la chambranle de la porte. Pour éviter cela, elle a disposé une couche de paille en travers de la porte. Son compagnon a naturellement baissé la tête pour sentir et voir ce qui ce bouchait l’entrée de son box. Il est alors rentré sans se presser. La cavalière a recommencé l’opération en diminuant au fur et à mesure la quantité de paille.
Robinet au chaud
Lorsque la température passe en dessous de zéro, on rencontre souvent des problèmes avec les robinets d’extérieur.
Pour les protéger du gel, on peut tout simplement utiliser un ballot de paille dans lequel on aura préalablement aménagé un trou de la taille du robinet.
Aux premiers frimas, emboîter le ballot sur le robinet en prenant soin de bien le coller contre le mur afin d’avoir un maximum d’étanchéité.
A la hauteur
Lorsque le climat se refroidit, les cavaliers sortent leur blouson et les couvre-reins des couvre-reins des chevaux. Or, après quelques minutes de détente dans le manège tout le monde commence à avoir chaud et à transpirer. Il est donc temps de tomber la veste. Mais il est embêtant de laisser des affaires traîner par terre…et il n’y a pas toujours une âme serviable pour les poser plus loin. Dans le manège de Marion, un portemanteau a été fixé en hauteur afin de pouvoir y accrocher les vêtements sans être obligé de les jeter par terre ou de descendre de cheval. Vraiment pratique.
Un porte-bride amovible
Il existe pour les filets ou les brides des crochets très pratiques. On peut les suspendre directement sur la porte ou aux grilles latérales. Il suffit d’adapter ces crochets de suspension à ses propres installations.
Sel fondu
Une pierre à sel fond facilement dans un pré quand il pleut. Pour parer à ce désagrément, il faut éviter qu’elle soit en contact avec le sol. Une jante de voiture disposée à l’envers sur le sol fait office de support.
Râtelier sur mesure
Pour ne pas laisser les chevaux éparpiller le foin par terre, on peut découper un morceau de grillage métallique et le fixer à leur hauteur sur le mur de leur abri en bois, à l’aide de clous. Il faut plier les bords pour les disposer à sept cm du mur. Il est facile de remettre du foin par le haut du grillage non replié.
Un pneu pour ne pas renverser la nourriture par terre
Pour les chevaux qui passent toute l’année au pré se pose le problème de la distribution de nourriture. Pour être sûr que les rations ne terminent pas dans la boue plutôt que dans leur estomac, il faut utiliser des récipients qui ne peuvent être renversés. De vieux pneus stabilisent les mangeoires. Pratique et économique, cette solution est facile à mettre en œuvre, l’idéal étant de trouver des récipients peu profonds au diamètre légèrement inférieur à ceux des pneus. Pour l’esthétisme, il est tout à fait possible de peindre le caoutchouc.
Et pour les plus farceurs, percer les bords du récipient à deux endroits opposés pour y mettre des boulons sur des rondelles et l’auge est fixée définitivement ! on peut également la coller contre le pneu avec de la colle Néoprène.
Poignée de secours
Lorsque l’on aménage soi-même la clôture électrique du pré de son cheval, il est bien pratique de penser à aménager plusieurs ouvertures. Mais il manque alors souvent une précieuse poignée isolante qui évite de prendre un ‘coup de jus’.
Une petite bouteille de soda (50cl) constitue une bonne poignée isolante de secours avec un bout de cintre en métal. Il suffit de percer le fond de la bouteille pour glisser le fil électrique, puis d’aménager un trou dans le bouchon pour passer le morceau de cintre que l’on recourbe pour mieux l’accrocher au poteau de la clôture
La protection de l’environnement
Rien n’empêche un cheval de grignoter un arbre auquel vous tenez. Allez donc vous expliquer à vos chers compagnons que cette jeune et fragile pousse, si on la respecte, leur procurera dans quelque temps une ombre bienvenue ? Pour protéger les boutures fraîchement plantées, il suffit de les entourer d’une clôture en fil électrique.
Même sans courant, les chevaux, habitués à ne pas s’approcher du fil, ne sont pas tentés d’en grignoter l’écorce ou les feuilles ! Attention, pour que cette protection soit, efficace, il faut que la distance de l’arbre à la clôture soit nettement supérieure à une longueur…d’encolure !
Pré salé
Pour sa santé, il est important que Royal ait toujours une pierre à sel à disposition. Or, une pierre directement posée sur le sol de la pâture se salit, fond par le temps humide et est rapidement dédaignée par le cheval. Lorsque son compagnon vit au pré, Marion suspend sa pierre à sel en hauteur, à une branche d’arbre. Mais la pierre se fend peu à peu au niveau de la ficelle. La jeune fille, pleine de ressources, introduit un morceau de tuyau d’arrosage dans l’orifice du bloc et y passe ensuite la ficelle terminée par un gros nœud pour l’empêcher de glisser. Elle rajoute un couvercle en plastique au-dessus de la pierre pour protéger de la pluie. Il suffit de faire un trou au milieu du couvercle et de le passer dans la ficelle. Le tout de fixe à une branche solide à hauteur de la bouche de son cheval.
Corvée d’eau
L’été, alors que les chevaux profitent du pré, il ne faut pas oublier de remplir régulièrement leur abreuvoir. Mais le tuyau d’eau en équilibre sur le bord de la bassine a la fâcheuse tendance à glisser par terre, quand ce ne sont pas les chevaux qui l’y aident…Remplir le bac devient alors une corvée car il faut attendre à coté le temps qu’il se remplisse…Pour caler le tuyau dans le bac, Marion relie ensemble deux briques avec une ficelle de paille. Elle coince alors le tuyau sous la ficelle, entre les deux briques, l’une étant à l’intérieur du bac et l’autre à l’extérieur. La voilà tranquille pour faire un tour de la pâture et vérifier que tout va bien.
Ne pas oublier néanmoins de fermer l’eau !
Barre de fer contre poteau de terre
Quand on veut refaire un enclos ou changer son tracé, on se heurte parfois à des piquets trop profondément enfoncés dans un sol dur, et impossibles à extraire à la main. Dans ces cas-là, le père de Marion utilise le système du levier pour arracher le piquet rapidement. Le principe est simple et efficace : tout d’abord, placer une pierre à la base du piquet, elle servira de point d’appui. Puis, à l’aide d’un serre-joint, appliquer une cale en bois sur le piquet un peu au-dessus de la pierre. Glisser l’extrémité d’une solide barre de fer sous la cale, en l’appuyant sur la pierre. Il suffit alors de faire levier, et le piquet remonte. Tant que le piquet n’est pas complètement déterré, recommencer l’opération en plaçant la cale en bois un peu plus bas. Le cas échéant, un peu d’eau facilite le glissement du piquet dans un sol trop sec. Aucun ne résiste à ce traitement !
De l’eau à volonté
Quand les grands froids de l’hiver approchent, il faut vérifier quotidiennement que le seau rempli d’eau du box ou de l’abreuvoir au pré ne gèle pas. Ce n’est pas toujours facile car l’eau peut geler à n’importe quel moment de la journée…
Pour être sûre que Royal a toujours de l’eau à disposition, Marion n’oublie jamais de jeter une poignée de paille propre et un gros morceau de bois dans ses abreuvoirs0 Ainsi, l’eau ne peut pas geler entièrement en surface et son compagnon peut toujours s’abreuver.
Opération fil blanc
Les chevaux ne voient pas forcément les fils électriques qui entourent leur pré. Après deux incidents, Marion a passé un fil blanc dans le ressort du fil pour le rendre plus visible. Depuis ? Royal ne s’y trompe plus.
Grille de protection
Royal avait pris l’habitude de ronger l’écorce des arbres fruitiers du verger qui l’accueille l’été. Ceux-ci perdaient alors leur sève et pouvaient mourir.
Le père de Marion a remédié aux ravages du gourmand en enroulant du grillage autour des troncs, et des branches principales. Le tout est bien fixé, mais pas trop serré pour laisser de l’espace à l’arbre. Le moment venu, Royal saura apprécier les pommes qui tomberont des arbres en pleine santé !
Electricité bidonnée
Pour éviter à l’électrificateur de subir les caprices des intempéries, Marion a fabriqué une protection avec les moyens du bord : un simple bidon plastique de 30 litres. Elle a découpé sur l’un de ses flancs une fenêtre, un peu lus grande que son appareil électrique. De l’autre côté, elle a percé deux petits trous pour le passage des fils de terre et de ligne. La poignée du jerricane lui permet de le transporter facilement ; il lui suffit alors de glisser le fil de ligne et les piquets de terre dans le bidon. On peut également adapter ce système avec un seau.
Grattoir de pré
Royal est heureux de retrouver son pré dès les beaux jours venus. Mais il a l’habitude de se gratter énergiquement sur les troncs des arbres. Pour qu’il ne se blesse pas et n’abîme pas les écorces. Marion lui a installé un grattoir sur mesure en fixant un grand tapis-brosse autour du tronc d’un arbre. Le cheval s’en donne désormais à cœur joie, sans risque !
Un bon tuyau
Pour la sécurité des chevaux, la clôture électrique doit parfois être refixée sur les poteaux qui entourent la pâture. Il est très facile de confectionner des isolateurs maison : couper un morceau de tuyau d’arrosage sur quatre centimètres de longueur, y glisser le fil électrique et fixer l’ensemble sur un poteau avec un cavalier. Attention de ne pas trop enfoncer le cavalier pour ne pas écraser le tuyau.
Test électrique
Qui n’a jamais hésité à rentrer dans un pré clôturé de ruban électrique, ne sachant plus si le courant passe ou non ? Une décharge électrique rend beaucoup moins sympathique la visite des chevaux au pré ! Il suffit pourtant de couper un brin d’herbe et de le mettre en contact avec le ruban de la clôture. Si le courant passe, vous ressentez alors un léger picotement et vous entendez des petits ‘tic, tic’ réguliers.
Chasse aux chardons
Malgré des coupes successives, les chardons repoussaient et envahissaient le pré de Royal. Un jardinier avisé a donné à Marion une méthode simple pour venir à bout de ces plantes indésirables : il suffit de couper le chardon en deux et de verser du gros sel dans la tige creuse. Il descend jusqu’aux racines et tue définitivement le chardon. Efficace et écologique !
Elégante barrière
Pour fermer les prés ou les carrières, les portails en bois sont souvent chers et pas toujours très esthétiques, dénotant parfois avec leur environnement. Pour installer une barrière pratique et facile à ouvrir avec un cheval en main, et dans le même esprit que le clôture pour que l’ensemble ne soit pas dépareillé, il est possible de fabriquer une barrière coulissante en utilisant d’anciens fers. Fixés sur les poteaux porteurs à l’aide de tire-fond et de boulons, ils soutiennent les grands rondins tout en formant une porte originale.
Un petit rafraîchissement
Marion ne dispose pas des moyens matériels pour installer une douche dans son pré. Et pourtant, après une balade par une chaude après-midi d’été, les chevaux apprécient une bonne douche fraîche. Il suffit d’acheter un pulvérisateur de cinq litres dans un magasin de jardinage. On peut facilement habituer les chevaux craintifs à ce système car la pression de l’eau est réglable au niveau de la lance d’arrosage.
Voie de garage
Attraper un cheval au pré relève parfois du marathon. Marion a confectionné un petit enclos ouvert dans un coin du pré où elle laisse des friandises à grignoter de temps en temps. Royal a pris l’habitude de s’y rendre et sa cavalière peut alors l’isoler pour l’attraper.
Tonte au poil
Marion, la fibre écologiste chevillé au corps, recycle les poils de la tonte de Royal. Une année, elle a eu l’idée de les garder, et au printemps, de les mettre dans un filet à citrons. Elle l’a accroché à un arbre pour que les oiseaux viennent y picorer les poils dont ils ont besoin pour refaire leur nid. Rien ne se perd pour la jeune !
Un rideau contre les mouches dans le pré !
Au pré, les chevaux subissent les attaques des mouches et des taons, ce qui finit par les perturber. Quand plusieurs chevaux se trouvent dans le même pré ils peuvent se mettre tête-bêche, mais ceux qui sont tout seul doivent se débrouiller autrement. C’est parfois le cas de Royal quand il n’a pas de copain de prairie. Marion lui suspend alors un cadre en bois à un arbre qu’il affectionne particulièrement lors des chaudes après-midi d’été. Elle fixe sur le cadre une multitude de cordelettes qui servent d’écran anti-mouches. Il faut vérifier que les cordes ne sont ni trop lourdes ni trop légères pour que le vent puisse les soulever, et assez longues pour protéger le poitrail et le haut des membres. Il a fallu habituer Royal à venir mettre sa tête dedans. C’est pour cela que le choix de l’emplacement du cadre était très important, il devait être sur son lieu habituel de repos. Il y fait de longues siestes sans être dérangé par les mouches
Et voila, a chaque grand espace c'est car il y a 3 grandes parties ; Pansage & grooming, Logement, Prairie et bientot santé et soins il faut que je finissent de taper!!!! J'espere que cela vous plaira