oubeule a écrit le 27/05/2017 à 21h02:
@papyrus
Je comprend on ne fonctionne pas du tout pareil, j'ai récupérer bon nombre de chevaux et j'ai toujours pris le temps et travailler avec douceur.
Je ne suis pas pressé, je ne me fixe pa d'objectif de résultats.
La mule chez moi, tu ne la touchais, je l'ai récupéré à 4 ans drogué et battue, je te laisse imaginé une fois que la drogue n'a plus fait effet, le licol tu lui mettais et après tu faisais en sorte qu'elle ne se tue pas alors les pieds s'était un doux rêve...et je n'utilise pas les entraves....quand au veto meme aujourd'hui il n'y touche pas.
On a pas eut les mêmes équidés et jamais je ne mettrais la pression à un cheval ou encore travaillerai un poulain de meme pas 6 mois, et pourtant tous mes chevaux acceptent les soins meme les plus compliqué en liberté, sont arnaché et paré en liberté et travail en liberté meme en extérieur.....chacun ses choix.
On ne s'est pas compris...
Je l'ai mis au "bain directement" mais en douceur! A aucun moment je n'ai été violente avec, quelque sois la situation! Il s'est prêté volontiers a mes demandes sans que j'ai a insister.
Ca fait des années que je rééduque des animaux a problèmes et ça a toujours été traité au cas par cas. Chaque animal répond différemment.
Les entraves font partie de mes habitudes de randonneurs comme on attache au licol en bivouac et absolument pas pour l'immobiliser en force. On balade, on entrave et on broute tranquille! Il a vite pigé le coté positif de l'instrument. D'ailleurs, il ne bouge pas quand je lui met contrairement au licol dont il a gardé les mauvais souvenirs. Il arrive même a galoper avec...
Faut arrêter de mettre les entraves dans la catégorie des instruments de torture et chercher a voir les avantages que ça peux apporter en exterieur.